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The Faro Conservancy Project

notre mission

Une Organisation à but non lucratif, comme nulle autre

REPENSER LA CONSERVATION
DES ESPÈCES SAUVAGES

The Faro Conservancy Project (TFCP) est un consortium de gestionnaires d’aires protégées du Nord Cameroun, désireux de repenser la conservation de la faune en fonction des besoins réels observés sur le terrain. Notre implication unique, souvent au cœur des conflits, nous place comme experts et acteurs clés de la conservation des espèces présentes sur les territoires que nous protégeons depuis des décennies. Grâce à plus de 50 ans d’expérience sur le terrain, nos connaissances approfondies, notre protection rigoureuse et notre passion sans limites, nous sommes les gardiens d’une extraordinaire diversité d’espèces sauvages et d’habitats essentiels. Cette crédibilité nous permet d’élaborer des réponses structurées qui ciblent directement les conflits observés et les déséquilibres qu’ils provoquent. 

Gardez toujours à l’esprit qu’absolument tout est lié, que chaque « mauvaise » action commise à l’égard de l’environnement, aussi minime soit-elle, a une série d’impacts, d’effets dominos et de répercussions sur l’ensemble du paysage.

Au Cameroun, nos sanctuaires gérés sur le long terme sont les derniers refuges d’un Patrimoine Faunique Mondial. 

Notre Philosophie

DES ACTIONS DIFFÉRENTES
= DES RÉSULTATS DIFFÉRENTS

Loin des ONG classiques et de leurs contraintes technico-politiques, notre ambition indéfectible est d’agir sans limites pour protéger la Faune et les Hommes sur le long terme. Nous ne pouvons pas nous attendre à des résultats différents si nous ne menons pas d’actions différentes. Ceci est valable pour nous, gestionnaires des aires protégées du Nord Cameroun, et pour tous nos partenaires.

Nous croyons en une divulgation totale. Tous les succès et les échecs sont rapportés dans notre section blog. Suivez en toute transparence, où va votre argent sur le terrain. Nos factures administratives sont couvertes à nos frais, 100 % de l’argent généré et donné alimente réellement nos programmes de conservation.

En conséquence, nos aires protégées gérées et financées par le secteur privé abritent des densités de faune et de flore plus élevées que n’importe quel parc national au Cameroun.

Notre Vision

AGIR DANS LES ZONES PROTÉGÉES ET AU-DELÀ

Les besoins du terrain peuvent être caractérisés en deux catégories : les besoins de l’environnement d’une part et les besoins des populations locales ou immigrées d’autre part. Ces besoins sont souvent incompatibles car la source de ces conflits est bien souvent économique. L’enjeu d’aujourd’hui est donc de recréer un paysage économique sain, d’opportunités et d’alternatives afin de détourner les populations locales des activités illégales et nocives pour l’environnement au profit d’activités saines, génératrices de valeur. Sans cela, nous ne ferons que repousser les échéances de dégradation de l’environnement et des espèces animales qui y vivent.

La réponse « tolérance zéro » à l’intérieur des aires protégées, nécessaire à la résilience multi-échelle des espaces naturels, doit servir comme outil au service de ces nouvelles opportunités économiques dans la mesure où la surveillance et la répression accrues dans les aires protégées favorise directement l’étude d’alternatives économiques pour les populations qui participent aux activités néfastes pour l’environnement.
Notre Vision

AGIR DANS LES ZONES PROTÉGÉES ET AU-DELÀ

Les besoins du terrain peuvent être caractérisés en deux catégories : les besoins de l’environnement d’une part et les besoins des populations locales ou immigrées d’autre part. Ces besoins sont souvent incompatibles car la source de ces conflits est bien souvent économique. L’enjeu d’aujourd’hui est donc de recréer un paysage économique sain, d’opportunités et d’alternatives afin de détourner les populations locales des activités illégales et nocives pour l’environnement au profit d’activités saines, génératrices de valeur. Sans cela, nous ne ferons que repousser les échéances de dégradation de l’environnement et des espèces animales qui y vivent.

La réponse « tolérance zéro » à l’intérieur des aires protégées, nécessaire à la résilience multi-échelle des espaces naturels, doit servir comme outil au service de ces nouvelles opportunités économiques dans la mesure où la surveillance et la répression accrues dans les aires protégées favorise directement l’étude d’alternatives économiques pour les populations qui participent aux activités néfastes pour l’environnement.